poèmes de Théophile Gautier, de Percy Bysshe Shelley etc.

donc voilà je vous mets quelques poèmes comme ça parce que j'en avais envie ^.^
(Titef, on va voir si tu réagis lol)


Sur les lagunes


Ma belle amie est morte,
Je pleurerai toujours;
Sous la tombe elle emporte
Mon âme et mes amours.
Dans le ciel, sans m'attendre,
Elle s'en retourna;
L'ange qui l'emmena
Ne voulut pas me prendre.
Que mon sort es amer!
Ah! sans amour s'en aller sur la mer!
La blanche créature
Est couchée au cercueil;
Comme dans la nature
Tout me paraît en deuil!
La colombe oubliée
Pleure et songe à l'absent;
Mon âme pleure et sent
Qu'elle est dépareillée.
Que mon sort est amer!
Ah! sans amour s'en aller sur la mer!
Sur moi la nuit immense
S'étend comme un linceul,
Je chante ma romance
Que le ciel entend seul.
Ah! comme elle était belle,
Et comme je l'aimais!
Je n'aimerai jamais
Une femme autant qu'elle
Que mon sort est amer!
Ah! sans amour s'en aller sur la mer!
S'en aller sur la mer!



Au cimetière



Connaissez-vous la blanche tombe,
Où flotte avec un son plaintif
L'ombre d'un if?
Sur l'if une pâle colombe,
Triste et seule au soleil couchant,
Chante son chant:
Un air maladivement tendre,
À la fois charmant et fatal,
Qui vous fait mal
Et qu'on voudrait toujours entendre;
Un air comme en soupire aux cieux
L'ange amoureux.
On dirait que l'âme éveillée
Pleure sous terre à l'unisson
De la chanson,
Et du malheur d'être oubliée
Se plaint dans un roucoulement
Bien doucement.
Sur les ailes de la musique
On sent lentement revenir
Un souvenir.
Une ombre, une forme angélique,
Passe dans un rayon tremblant,
En voile blanc.
Les belles de nuit demicloses
Jettent leur parfum faible et doux
Autour de vous,
Et le fantôme aux molles poses
Murmure en vous tendant les bras:
Tu reviendras!
Oh! jamais plus près de la tombe,
Je n'irai, quand descend le soir
Au manteau noir,
Écouter la pâle colombe
Chanter sur la pointe de l'if
Son chant plaintif.




THE SUNSET.


There late was One within whose subtle being,
As light and wind within some delicate cloud
That fades amid the blue noon’s burning sky,
Genius and death contended. None may know
The sweetness of the joy which made his breath
Fail, like the trances of the summer air,
When, with the Lady of his love, who then
First knew the unreserve of mingled being,
He walked along the pathway of a field
Which to the east a hoar wood shadowed o’er,
But to the west was open to the sky.
There now the sun had sunk, but lines of gold
Hung on the ashen clouds, and on the points
Of the far level grass and nodding flowers
And the old dandelion’s hoary beard,
And, mingled with the shades of twilight, lay
On the brown massy woods—and in the east
The broad and burning moon lingeringly rose
Between the black trunks of the crowded trees,
While the faint stars were gathering overhead.—
‘Is it not strange, Isabel,’ said the youth,
‘I never saw the sun? We will walk here
To-morrow; thou shalt look on it with me.’

That night the youth and lady mingled lay
In love and sleep—but when the morning came
The lady found her lover dead and cold.
Let none believe that God in mercy gave
That stroke. The lady died not, nor grew wild,
But year by year lived on—in truth I think
Her gentleness and patience and sad smiles,
And that she did not die, but lived to tend
Her aged father, were a kind of madness,
If madness ’tis to be unlike the world.
For but to see her were to read the tale
Woven by some subtlest bard, to make hard hearts
Dissolve away in wisdom-working grief;—
Her eyes were black and lustreless and wan:
Her eyelashes were worn away with tears,
Her lips and cheeks were like things dead—so pale;
Her hands were thin, and through their wandering veins
And weak articulations might be seen
Day’s ruddy light. The tomb of thy dead self
Which one vexed ghost inhabits, night and day,
Is all, lost child, that now remains of thee!

‘Inheritor of more than earth can give,
Passionless calm and silence unreproved,
Whether the dead find, oh, not sleep! but rest,
And are the uncomplaining things they seem,
Or live, or drop in the deep sea of Love;
Oh, that like thine, mine epitaph were—Peace!’
This was the only moan she ever made.





Le spectre de la rose




Soulève ta paupière close
Qu'effleure un songe virginal!
Je suis le spectre d'une rose
Que tu portais hier au bal.
Tu me pris encore emperlée
Des pleurs d'argent de l'arrosoir,
Et, parmi la fête étoilée,
Tu me promenas tout le soir.
O toi qui de ma mort fus cause,
Sans que tu puisses le chasser,
Toutes les nuits mon spectre rose
A ton chevet viendra danser;
Mais ne crains rien, je ne réclame
Ni messe ni De Profundis.
Ce léger parfum est mon âme,
Et j'arrive du paradis.
Mon destin fut digne d'envie,
Et pour avoir un sort si beau,
Plus d'un aurait donné sa vie;
Car sur ton sein j'ai mon tombeau,
Et sur l'albâtre où je repose
Un poète avec un baiser
Écrivit: "Ci gît une rose,
Que tous les rois vont jalouser."

J'aime bien... surtout la dernière (heu... j'ai saper celle en ang )

Ouaaaaiiisss encore une section poèmes^^

Moi j'en met deux que j'adore et qui sont assez connu en fait mais tant pis c'est pas grave, un de Francis James et un d'Aragon:


La prière

Par le petit garçon qui meurt prés de sa mère
tandis que des enfants s'amusent au parterre;
et par l'oiseau blessé qui ne sait pas comment
son aile tout à coup s'ensanglante et descend
par la soif et la faim et le délire ardent :
je vous salue Marie.

Par les gosses battus par l'ivrogne qui rentre
par l'âne qui reçoit des coups de pieds au ventre
par l'humiliation de l'innocent châtié
par la vierge vendue qu'on a déshabillée :
je vous salue Marie.

Par le mendiant qui n'eut jamais d'autre couronne
que le vol des frelons, amis des vergers jaunes,
et d'autre sceptre qu'un bâton contre les chiens;
par le poète dont saigne le front qui est ceint
des ronces des désirs que jamais il n'atteint :
je vous salue Marie.

Par la vieille qui, trébuchant sous trop de poids,
s'écrie "Mon Dieu!" par le malheureux dont les bras
ne purent s'appuyer sur une amour humaine
comme la Croix du Fils sur Simon de Cyrène;
par le cheval tombé sous le chariot qu'il traîne :
je vous salue Marie.

Par les quatre horizons qui crucifient le Monde
par tous ceux dont la chair se déchire ou succombe.
Par ceux qui sont sans pieds, par ceux qui sont sans mains,
et par le juste mis au rang des assassins :
je vous salue Marie.

Par la mère apprenant que son fils est guéri,
par l'oiseau rappelant l'oiseau tombé du nid,
par l'herbe qui a soif et recueille l'ondée,
par le baiser perdu par l'amour redonné
et par le mendiant retrouvant sa monnaie :
je vous salue Marie.

Celui-là en fait j'aime surtout la reprise par Saez^^



Il n'y a pas d'amour heureux

Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux.

Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de ce lever matin
eux qu'on retrouve au soir désœuvrés incertains
Dites ces mots Ma vie et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux.

Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux.

Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux.

Il n'a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous deux.

Citation :

Celui-là en fait j'aime surtout la reprise par Saez^^

ah? ça donne quoi? moi je la connaissais qu'interprétée par Brassens ^^;;

soho a écrit:

Citation :

Celui-là en fait j'aime surtout la reprise par Saez^^

ah? ça donne quoi? moi je la connaissais qu'interprétée par Brassens ^^;;

Ben oui, mais Saez a repris la reprise de Brassens^^ Je veux bien te l'envoyer mais si tu peux pas écouter de zik sur ton ordi...

tant pis ça attendra lol ... je me demandais juste si il avait pris la même musique que Brassens ou si il en avait composée une autre ^^ , mais tu as répondu à ma question ^^

OH mon dieu...Saez reprenant la même musique que Brassens..ça fait peur...O_O

La même mélodie oui...mais bon...

Ben écoute je peux te le graver pour Halloween si tu veux^^
En fait il est sur le CD 'Les Oiseaux de Passage", un cd de reprises par des chanteurs de la nouvelle scène française de chansons de Brassens ( ya Juliette, Keren Ann, Tanger, Miossec, Noir Désir, Yann Tiersen, ect...)

*hésite, hésite...*
bah en fait j'avoue ne pas être hyper fan des chansons de Brassens en général alors... disons que tu peux ammener ton CD à toi pour nous faire écouter? ^^ comme ça ça t'évites de graver un CD avant de savoir si ça me plaira... mais l'intention était très gentille, merci beaucoup ^^

D'accord^^
*commence à faire une liste de tout ce qu'il doit ammener ^^"*

J'ai jamais aimé Baudelaire mais celui-là je l'aime bien ( parce qu'il y a aussi une version de Saez^^)




Delphine et Hippolyte

"Avons-nous donc commis une action étrange?
Explique, si tu peux, mon trouble et mon effroi:
Je frissonne de peur quand tu me dis: 'Mon ange!'
Et cependant je sens ma bouche aller vers toi.

"Ne me regarde pas ainsi, toi, ma pensée!
Toi que j'aime à jamais, ma sœur d'élection,
Quand même tu serais une embûche dressée
Et le commencement de ma perdition!"

Delphine secouant sa crinière tragique,
Et comme trépignant sur le trépied de fer,
L’œil fatal, répondit d'une voix despotique:
- "Qui donc devant l'amour ose parler d'enfer?

"Maudit soit à jamais le rêveur inutile
Qui voulut le premier, dans sa stupidité,
S'éprenant d'un problème insoluble et stérile,
Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté!

"Celui qui veut unir dans un accord mystique
L'ombre avec la chaleur, la nuit avec le jour,
Ne chauffera jamais son corps paralytique
À ce rouge soleil que l'on nomme l'amour!

"Va, si tu veux, chercher un fiancé stupide;
Cours offrir un cœur vierge à ses cruels baisers;
Et, pleine de remords et d'horreur, et livide,
Tu me rapporteras tes seins stigmatisés...

"On ne peut ici-bas contenter qu'un seul maître!"
Mais l'enfant, épanchant une immense douleur,
Cria soudain: "Je sens s'élargir dans mon être
Un abîme béant; cet abîme est mon cœur!

"Brûlant comme un volcan, profond comme le vide!
Rien ne rassasiera ce monstre gémissant
Et ne rafraîchira la soif de l'Euménide
Qui, la torche à la main, le brûle jusqu'au sang.

"Que nos rideaux fermés nous séparent du monde,
Et que la lassitude amène le repos!
Je veux m'anéantir dans ta gorge profonde
Et trouver sur ton sein la fraîcheur des tombeaux!"

- Descendez, descendez, lamentables victimes,
Descendez le chemin de l'enfer éternel!
Plongez au plus profond du gouffre, où tous les crimes,
Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel,

Bouillonnent pêle-mêle avec un bruit d'orage.
Ombres folles, courez au but de vos désirs;
Jamais vous ne pourrez assouvir votre rage,
Et votre châtiment naîtra de vos plaisirs.

Jamais un rayon frais n'éclaira vos cavernes;
Par les fentes des murs des miasmes fiévreux
Filtrent en s'enflammant ainsi que des lanternes
Et pénètrent vos corps de leurs parfums affreux.

L'âpre stérilité de votre jouissance
Altère votre soif et roidit votre peau,
Et le vent furibond de la concupiscence
Fait claquer votre chair ainsi qu'un vieux drapeau.

Loin des peuples vivants, errantes, condamnées,
À travers les déserts courez comme les loups;
Faites votre destin, âmes désordonnées,
Et fuyez l'infini que vous portez en vous!

Baudelaire: Les Fleurs du mal, Femmes damnées (1861)
poème condamné en 1857

aaaaaaah tu n'aimes pas Baudelaire ouiiiiiiiiin!!!!
enfin bon tu pouvais pas être parfait non plus *réfléchit* *se demande à quel moment elle a bien pu envisager la possibilité d'un éventuelle ateinte de la perfection chez le Lord* *ne trouve pas de réponses*

Mais !!! Tchii ! Il manque tout le début du poème, là !! Voyons !!
Pauvre Baudelaire ^^'''

(Sinon, sont très bien les autres ^^)

soho a écrit:

aaaaaaah tu n'aimes pas Baudelaire ouiiiiiiiiin!!!!
enfin bon tu pouvais pas être parfait non plus *réfléchit* *se demande à quel moment elle a bien pu envisager la possibilité d'un éventuelle ateinte de la perfection chez le Lord* *ne trouve pas de réponses*

Non j'aime pas Baudelaire, et c'est en cela que je suis parfait^^

Non en fait je préfère Apollinaire^^ Est-ce que tu connais les Poèmes à Lou? (J'adoooooooooooooooooooooooore!!!)

Oui DCP je sais qu'il manque le début pour deux raison: la début je l'aime pas, et le début n'y est pas dans la chanson de Saez^^

Citation :

Non en fait je préfère Apollinaire^^ Est-ce que tu connais les Poèmes à Lou?

tu manques cruellement de mémoire mon ptit gars...
*vexée de marquer si peu les esprits*
va farfouiller dans ta boîte mail et tu auras la réponse, que je ne daignerais pas répéter, et toc! nah!!

Aaaaah ouiiiiiii

Ecoute je suis désolé mais faire tant de conaissance en si peu de temps moi j'arrives pas à tout retenir...*commence à sangloter*
Pourquoi ti est si duuuure avec mouaaaaaaa???
*pleure*
*beaucoup*

... parce que tu m'as jamais envoyé les poèmes prévus peut-être?
ou bien parce que je suis méchante et cruelle de nature...
...
...
...ou bien juste parce que ça demande moins d'efforts que d'être gentille et que je suis complètement H.S. ?

Aaaaaah c'est vraiii je devait t'en envoyer !!!!
je te les scanerais cette semaine^^

Quels poèmes????

J'aime bien Appolinaire...

c'est de lui ça???:

Avec ses quatres dromadaires
Don pedro d'Alfa Rou D'Errat
Courrut le monde et l'adira,
Il fit ce que je voudrais faire
Si j'avais quatre dromadaires

et ça???

Mon pauvre coeur est un hibout
Qu'on cloue qu'on déclout, qu'on recloue
de sang, d'ardeur , il est à bout,
Tous ceux qui m'aime je les loue"

???

(je suis pas sûre de l'exactitude des poèmes... je sais: "pas douée")

Sohoooooo! Anhyyyaaaan!! ^______^

Waouw, quoi. Surtout le deuxième. ^^

Cher Lord, tu n'aimes pas Baudelaire? o_O.. c'est donc possible? *choquée*
Par contre, j'aime pas trop Appolinaire... mais Aragon... c'est trop magnifique. (surout il n'y a pas d'amour heureux)

Et Delphine et Hippolyte... chanté par Saez... c'est à se flinguer tellement c'est beau. (tiens, je me suis amusée à apprendre le poè!me par coeur... ^^''... quand on a du temps à perdre, hein! )

Latitefraisedesbois a écrit:

Cher Lord, tu n'aimes pas Baudelaire? o_O.. c'est donc possible? *choquée*

Mais c'est pas possible vous êtes tous fan??? Nan moi j'aime pas je le trouve ennyeux et pas émotionel du tout. Pis j'en ai fait une indigestion de Baudelaire dans mon année de 1ère. Les Poèmes à Lou m'on fait des frissons dès la première lecture^^

Latitefraisedesbois a écrit:

Par contre, j'aime pas trop Appolinaire... mais Aragon... c'est trop magnifique. (surout il n'y a pas d'amour heureux)

Exactement^^

Latitefraisedesbois a écrit:

Et Delphine et Hippolyte... chanté par Saez... c'est à se flinguer tellement c'est beau

Mais la Prière est encore plus belle, je te jure!

Citation :

Mais c'est pas possible vous êtes tous fan??? Nan moi j'aime pas je le trouve ennyeux et pas émotionel du tout. Pis j'en ai fait une indigestion de Baudelaire dans mon année de 1ère. Les Poèmes à Lou m'on fait des frissons dès la première lecture^^

pas émotionnel? Mais comment résister à cette ambiance? (qui fait vachement penser à severus, qui plus est...) Noire, entrecoupée de lumière, un espèce de chant malsain, un monde de fantome et de reves bizarres, des images...

Citation :

Mais la Prière est encore plus belle, je te jure!

je te crois volontier... mais bon, j'ai jamais écouté! ^^
(tu m'envoies la chanson? *tête de poulette battue*)

Latitefraisedesbois a écrit:

pas émotionnel? Mais comment résister à cette ambiance? (qui fait vachement penser à severus, qui plus est...) Noire, entrecoupée de lumière, un espèce de chant malsain, un monde de fantome et de reves bizarres, des images...

Ben écoute j'ai pas du tout ressenti ça...Enfin après je vais te dire, au niveau des poètes, je déteste jamais la totalité de leur oeuvres. Bien sûr, y a des poèmes de Baudelaire que j'adore, mais c'est plutôt rare...

Latitefraisedesbois a écrit:

je te crois volontier... mais bon, j'ai jamais écouté! ^^
(tu m'envoies la chanson? *tête de poulette battue*)

Dès que je te vois sur msn^^

Citation :

Bien sûr, y a des poèmes de Baudelaire que j'adore

lesquels?

Eh ben Delphine et Hippolyte par exemple^^

euh tu m'aide pas beaucoup là... c'est le seul?